Jorien van Braak: Business Unit Manager


Jorien van Braak, 42 ans, est Business Unit Manager chez IZEN. Dans le cadre de cette fonction, elle est entre autres responsable du coaching et du fonctionnement des collaborateurs, ainsi que des résultats financiers de la business unit.



« En tant que manager, je veux contester le secteur
technique, traditionnellement plus dur, en créant un
environnement sûr, dans lequel chacun
peut exprimer sa vulnérabilité. »

  • Nom : Jorien van Braak
  • Âge : 42 ans
  • Études : Architecture (Haute École technique, Utrecht)
  • Fonction : Business Unit Manager
  • Passe-temps : Vélo de course et course à pied

Comment êtes-vous arrivée dans le secteur technique chez VINCI Energies ?

Jorien : Enfant, je rêvais de devenir architecte. Cette passion m’a conduite à des études d’architecture à la Haute École technique d’Utrecht. Bien que je n’aie jamais travaillé comme architecte, cette formation a jeté les bases de ma carrière dans le développement de projets, puis dans la transition énergétique, dans le cadre de laquelle je me suis orientée vers la durabilisation des bâtiments. Lors de mon arrivée chez VINCI Energies, j’ai occupé le poste de responsable de la business unit IZEN. L’ambitieux trajet de transformation visant à appliquer à IZEN le « VINCI Energies-way-of-life » m’a particulièrement attirée. Le monde dans lequel l’entreprise évolue, le fait qu’elle soit cotée en bourse et l’impact de VINCI Energies au quotidien ont également été des arguments de poids.

Quelles personnes vous inspirent et suscitent votre admiration ?

Jorien : J’ai plusieurs sources d’inspiration, mais la première qui me vient à l’esprit est Jacinda Ardern, l’ancienne Première ministre néozélandaise. Sa capacité à combiner leadership, gestion du pays et famille m’a toujours impressionnée. Pour moi, c’est un signal clair à toutes les femmes : il est parfaitement possible de combiner ces rôles. À mes yeux, Mien van Bree est également un très bel exemple à suivre sur le plan sportif. Elle a été la première coureuse cycliste des Pays-Bas dans les années 30. À l’époque, ce sport était considéré comme immoral pour les femmes, ce qui l’a poussée à s’installer en Belgique, et donc à abandonner sa famille, pour suivre son rêve. J’admire la force de cette femme passionnée, qui a écouté son cœur.

Quelle approche appliquez-vous dans le secteur technique, traditionnellement plus dur ?

Jorien : J’ai travaillé toute ma vie dans le secteur technique. Cela m’a permis de constater que dans ce monde effectivement plus dur, il y avait parfois un manque de vulnérabilité et de douceur. En tant que manager, j’essaie d’y remédier en veillant à ce qu’avec moi, les gens puissent exprimer leur vulnérabilité. VINCI Energies m’a d’ailleurs sélectionnée entre autres pour mon côté humain et à l’écoute. Notre secteur a tout à gagner à laisser plus de place à l’humain, en équilibrant l’aspect vulnérable, naturel, et le côté professionnel. C’est ce que j’essaie d’appliquer au quotidien, et j’y accorde une grande attention.