Eva Olyslager, 27 ans, travaille en tant qu’électromécanicienne chez Omexom. Jour après jour, elle travaille au contact de l’électricité et de la mécanique et manipule des raccordements basse tension et des câblages.
Eva Olyslager, 27 ans, travaille en tant qu’électromécanicienne chez Omexom. Jour après jour, elle travaille au contact de l’électricité et de la mécanique et manipule des raccordements basse tension et des câblages.
Eva : J’ai étudié l’orthopédagogie, une orientation fortement axée sur l’éducation. Après l’école secondaire, j’ai décidé de poursuivre des études. C’est ce que l’on attend souvent des jeunes diplômés de l’enseignement secondaire général. J’ai suivi aveuglément ce que l’on me disait, et cela ne m’a malheureusement pas traversé l’esprit de suivre mon propre chemin. Ensuite, j’ai travaillé pendant deux ans en tant qu’indépendante dans la vente et le marketing. Je me suis rendu compte que cela ne me rendait pas heureuse et j’ai décidé de poursuivre mon rêve de petite enfant. Quand j’étais plus jeune, je voulais en effet devenir garagiste, un métier qui est souvent considéré comme trop masculin pour une femme aux yeux de la société. L’idée d’utiliser mes mains me parlait grandement. En effet, lorsque j’ai du temps libre, j’exerce toujours des activités créatives et je n’hésite pas à retrousser mes manches.
Eva : Effectivement. J’ai donc décidé d’arrêter mon activité en tant qu’indépendante et j’ai commencé à rechercher un emploi qui me permettait d’exprimer ces talents. J’ai eu la chance de suivre une courte formation en électricité via une agence d’intérim. Au bout du compte, cela m’a amené chez VINCI Energies. J’ai directement été séduite par le fonctionnement agréable de l’entreprise et par les nombreuses possibilités de croissance. C’est donc la preuve qu’il n’est jamais trop tard pour réorienter complètement votre carrière..
Eva : C’est grâce à mes parents. Ils m’ont toujours encouragée à travailler dur et à ne pas me préoccuper de ce que les autres pensent ou disent. Bien entendu, en tant que parent, il est tout à fait normal que vous souhaitiez une certaine sécurité pour vos enfants. C’est également la raison pour laquelle ils m’ont encouragée à obtenir un diplôme à une époque où je n’avais pas encore découvert qui j’étais réellement et où je ne savais pas avec certitude ce que je voulais faire. Ce faisant, j’avais toujours un plan B et je pouvais facilement trouver du travail.
Eva : Je travaille aujourd’hui effectivement en tant que seule femme avec environ trente hommes, et honnêtement, je trouve cela très agréable. Sur chaque chantier, je travaille avec d’autres entreprises, ce qui me permet de rencontrer de nouvelles personnes. Il arrive parfois que je ressente que toute l’attention est tournée sur moi. Cela s’explique plutôt par de la surprise ou du respect, et je ne ressens donc jamais cela comme une sorte de discrimination sur le lieu de travail. Il serait bon que plus de femmes se rendent compte qu’elles sont les bienvenues dans des métiers techniques. C’est cette ouverture à la diversité qui m’a attirée chez VINCI Energies.