Ellen Vanhove: Software Engineer


Ellen Vanhove, 29 ans, occupe la fonction de Software Engineer chez Axians. Pour l’instant, elle travaille plus particulièrement comme consultante pour un acteur majeur du secteur des voyages. À ce titre, elle est chargée de l’analyse et de la mise en œuvre de nouvelles fonctionnalités, ainsi que de l’accompagnement de l’équipe.

« J’espère que la prochaine génération de femmes
sera à l’écoute de ses centres d’intérêt et de ses qualités. »

  • Nom : Ellen Vanhove
  • Âge : 29 ans
  • Études : Master d’ingénierie en sciences informatiques (UGent) 
  • Fonction : Software Engineer
  • Loisirs : Danse folk, fitness, jardinage de balcon et Lego

Ellen Vanhove, 29 ans, occupe la fonction de Software Engineer chez Axians. Pour l’instant, elle travaille plus particulièrement comme consultante pour un acteur majeur du secteur des voyages. À ce titre, elle est chargée de l’analyse et de la mise en œuvre de nouvelles fonctionnalités, ainsi que de l’accompagnement de l’équipe.

Comment avez-vous atterri dans le secteur technique ?

Ellen : J’ai toujours été très intéressée par l’informatique. À l’école secondaire, j’ai failli choisir la programmation en option, mais l’idée d’être la seule fille m’a fait changer d’avis. Mon point de vue a heureusement évolué et, plus tard, je me suis orientée vers une formation en sciences informatiques. J’y ai découvert les nombreuses facettes de l’informatique, telles que la programmation, le développement de logiciels, la pensée algorithmique et l’intelligence artificielle, ce qui m’a permis de cerner rapidement mes centres d’intérêt. Ma fonction actuelle s’inscrit donc dans la suite logique de cette formation, en combinaison avec mes centres d’intérêt et mes talents personnels.

Comment avez-vous évolué jusqu’à présent et comment envisagez-vous la suite de l’aventure ?

Ellen : J’ai souvent l’air sûre de moi, mais cette assurance est le résultat d’un apprentissage. À mes débuts chez Axians, j’avais du mal à demander de l’aide, mais j’ai vite compris que tout le monde était très disponible. L’enthousiasme de mes collègues me rassurait et m’encourageait à poser plus de questions. Aujourd’hui, j’essaie d’inciter les autres à faire de même, car il n’y a pas de questions bêtes. L’explication de points techniques est un autre axe d’amélioration personnel : je sais qu’il importe de varier son approche en fonction de son interlocuteur, et je suis toujours en train d’apprendre. À court terme, je cherche surtout à acquérir des connaissances techniques. Ma priorité, c’est de faire le plein d’expérience. À long terme, j’aimerais évoluer vers une fonction où je pourrais par exemple diriger une équipe.

D’après vous, que faudrait-il faire pour attirer plus de femmes dans le secteur technique ?

Ellen : À vrai dire, tout commence dès le plus jeune âge. Souvent, les enfants visualisent très bien des métiers comme « médecin » ou « agent », alors que le secteur technique reste plus abstrait. Il me semble donc fondamental de leur donner une idée plus précise de jobs comme celui de développeur et, surtout, de leur pertinence sociale. En participant à cette campagne, je veux y contribuer à mon échelle. J’espère que la prochaine génération de femmes sera à l’écoute de ses qualités et de ses centres d’intérêt, et qu’elle n’hésitera pas à choisir un cours optionnel comme la programmation.