Annelies Van Daele travaille comme chef de projet chez Axians, qui développe des logiciels sur mesure. Elle suit la gestion du projet de A à Z en fonction des desiderata et des exigences du client.
Annelies Van Daele, âgée de 44 ans, travaille comme chef de projet chez Axians, la marque de VINCI Energies en Belgique qui développe des logiciels sur mesure. Elle suit la gestion du projet de A à Z en fonction des desiderata et des exigences du client.
Annelies : Lorsque j’ai examiné les offres d’emploi, le slogan d’Axians a immédiatement attiré mon attention : ‘The best of ICT with a human touch’ (le meilleur des TIC avec une touche humaine), l’accent étant mis sur l’aspect humain et la responsabilité sociale. Le client et les employés y sont au centre des préoccupations. Dans mon précédent emploi, je travaillais dans le domaine des radiocommunications, un environnement commercial très dur où travaillent principalement des hommes. Chez Axians, c’est également le cas d’une part, mais, d’autre part, les femmes sont plus nombreuses à y travailler et cela va de pair avec une attention pour ce qui est socialement pertinent, par exemple, dans ce que nous faisons pour le secteur des soins de santé. De cette façon, mon travail est extrêmement varié.
Annelies : Être une mère au travail est un sacré défi, car il faut sans cesse trouver un équilibre entre son travail et sa famille. D’une part, on a ses propres ambitions professionnelles, mais d’autre part, on a des enfants dont il faut s’occuper. Chez VINCI Energies, je ressens que l’un n’exclut pas l’autre. L’éthique du travail ici est vraiment humaine, ce qui me donne la liberté d’établir mon propre emploi du temps et de retirer plus de satisfaction de mon travail. Chez VINCI Energies, j’ai l’opportunité de trouver cet équilibre entre vie privée et professionnelle.
Annelies : Michelle Obama a réussi à mettre en place une bonne combinaison entre sa vie professionnelle et sa vie familiale. Elle soutenait son mari dans ses ambitions politiques et trouvait malgré tout du temps pour sa famille. En outre, elle fait également du bénévolat pour améliorer l’accès des filles à l’enseignement. Je ne voudrais pas suivre ses traces en soi, mais je la considère comme une sorte de modèle qui possède de nombreuses qualités extrêmement louables. Elle donne un formidable exemple à d’autres femmes et défend l’égalité des sexes dans l’enseignement. Cela s’inscrit dans ma propre conception selon laquelle l’enseignement technique devrait également être plus accessible aux femmes. Je ne vois pas pourquoi les hommes seraient plus capables d’exercer un métier déterminé, même si cette perception est encore d’actualité. Lorsqu’il s’agit de féminisation sur le lieu de travail, tout commence dès le plus jeune âge par l’éducation et la formation.